mercredi 20 janvier 2010

PAPUA & PAPUA NEW GUINEA,
du 16 décembre 2009 au 1 janvier 2010:

au stand de pétards et feux d'artifices...


Après un nouvel an des plus misérables, seuls dans une maison inhabitée loin de tout, sans rien à manger, nous sommes nostalgiques de nos familles et de nos amis (et des huîtres au vin blanc, dit yohan...). Alors nous allons, exceptionnellement, vous solliciter... Combien d'entre vous lisent encore notre blog? Qu'en pensez-vous? Merci de répondre à ces deux questions en toute sincérité, le blog nous prend beaucoup de temps, d'énergie et de patience... (Si vous n'avez pas de compte google ou une autre openID, vous pouvez nous envoyer un e-mail!).


au travail...


Au début nous écrivions (sur papier) tous les deux ou trois jours, et restituions des anecdotes toutes fraîches dans plus de détails. Aujourd'hui nous faisons toutes les deux semaines à un mois un compte rendu plus général de nos pérégrinations. Nous oublions donc des détails, mais aussi de parler de ce qui nous est devenu normal, à nous, ici, avec l'habitude...

Par exemple: le quotidien du crevard qui cherche une piaule pas cher: arrives à Ambon, nous cherchons un petit hôtel (au dessus d'un resto de poisson grillé) dont on nous a soufflé mot dans le bateau... Après avoir bien tourné avec nos gros sacs, demandant aux locaux qui souvent ne connaissent pas, nous trouvons enfin le bonhomme qui enfume la rue de son poisson grillé (en face d'un magasin de CD qui à violents coups de décibels se fait entendre à des kilomètres à la ronde et nous heurte quelque peu les tympans!) Nous lui demandons: "c'est ici l'hôtel?" (ce n'est écrit nulle part) "non non il n'y a pas il n'y a pas" en secouant les mains, "si si il y a il y a !", nous insistons... "non non, heu non heu petit" "oui oui on veut on veut OK bagus!!!" "ah" il est gêné et son employée fait petite mine en nous conduisant à l'étage... effectivement les chambres sont très sales (murs aux traces douteuses, odeur fongique étouffante) et obscures... Sans compter le bruit du magasin d'en face, de la circulation, et des groupes électrogènes qui pallient aux coupures quotidiennes d'électricité, et les nuées de moustiques dans la salle de bains commune dont l'ampoule est semble-t'il, grillée... mais c'est ça, pour 50000 rp (env 3 euros) ou du propre (relatif) à 150000 rp (10 euros) pour touristes.


vue depuis la piaule à Ambon


Décidément dans les villes du nord de l'Indonésie , pas facile de se loger. A Makassar (Sulawesi) avec Sam et Sarka nous avions galéré pendant des heures, toutes les auberges nous criaient "FULL!" et nous indiquaient le même hôtel pour touristes (cher). Nous commencions à douter qu'elles soient réellement pleines, et devant l'évidence d'une chambre qui se libérait juste, nous insistâmes, pour apprendre enfin que s'ils accueillaient des étrangers (blancs!) ils auraient des ennuis avec la police. Des scénarios de corruption policière et de puissant businessman chinois se bousculèrent dans nos imaginations... Dépités, légèrement inquiets et fatigués (c'est toujours dur ce moment où on se trimballe avec nos lourds sacs de trottoir impraticable en avenue interminable...) et même quelque peu en colère (Sam!) nous avions fini, en nous éloignant du secteur, par trouver deux chambres miteuses à prix correct où on voulait bien de nous! On s'accommoda du groupe électrogène juste en dessous de la fenêtre... Sarka et Sam, eux n'avaient pas de fenêtre...


la chambre à Makassar (la photo ne rend hélas pas l'odeur de champignon...)


la salle-de-bains, typique...
(le seau d'eau fait à la fois office de douche, lavabo, et chasse d'eau)


Voilà... C'est le quotidien du crevard, et de quelques “backpackers” français (les autres nationalités ne marchandent quasiment jamais !?!) - c'est pour ça que c'est reposant de rester deux semaines au même endroit – mais finies les vacances...



Nous sommes à Ambon pour prendre un PELNI direction la Papouasie! (précision géographique: la grosse île de Papua est divisée en deux: à l'ouest la Papua indonésienne, à l'est la Papouasie-Nouvelle-Guinée, indépendante, sous protection australienne. La frontière est une droite verticale qui sépare l'Asie de l'Océanie.)



Dans le ferry, une nuit sur le pont pour cause de dortoir, couloirs, et cages d'escaliers bondés; en pleine saison des pluies nous sommes chanceux et ne subissons pas d'averse...



Puis deux nuits en dortoir (ça y est on a compris l'astuce: il suffit d'aller réserver son lit avant que le bateau ne fasse escale, auprès des passagers qui vont débarquer! C'est l'occasion de redevenir le centre de l'attention en attendant que les places se libèrent!” Le bateau est relativement neuf donc relativement propre. C'est un plaisir!


vue du port de Biak lors d'une escale



Puis nous accostons à Jayapura. La ville, capitale de la province (indonésienne) de Papua, est dans une cuvette: petit centre ville d'où la verdure des collines résidentielles attenantes est toujours visible. Ville dans la jungle! Le visage des papous (aborigènes des villes!) s'illuminent à notre vue, nous scotchent des sourires communicatifs sur la face! Ça fait du bien! Et ils ne cherchent pas à nous arnaquer contrairement à leurs colonisateurs qui sont plus axés business, et (donc?) plus malhonnêtes!


la rivière



Les trottoirs sont assez chaotiques et couverts de tâches rouge vif évoquant des scènes de crime!!! En fait il s'agit de crachats de noix d’arec, improprement appelées noix de Bétel, la drogue locale (au même titre que les cigarettes pour d'autres): ils mâchent la pulpe sans jamais avaler le jus amer ni leur salive, qui est crachée, jusqu'à ce que la chair soit plus ferme. Puis un genre de haricot (ressemblant au châton du saule) est trempé dans de la chaux en poudre et mâché avec, ce qui provoque une réaction chimique qui rend la pulpe rouge vif (ainsi que les dents!) et une petite montée d'un petit quart d'heure où le cerveau est plus léger...





Ils mâchouillent ça toute la journée, nous offrant le spectacle de sourires rouges pâteux! Tandis que nous, nous tournons longuement à la recherche d'une chambre... On nous envoie d'un hôtel à un autre, prix exorbitant ou bien “FULL!”... Retournant à la case départ et insistant, en réalité ce n'est pas full, juste d'un standing qui d'ordinaire ne sied pas au blanc... Sâle (même les draps!), plein de cafards et de moustiques, glauque et sans fenêtre... On est des crevards!!!



dans la rue...

Nous n'avons plus qu'une semaine de visa, alors pour gagner du temps, au lieu de sortir du pays pour y entrer à nouveau, nous nous rendons à l'immigration pour tenter d'obtenir une extension de nos visas en cours, ce qui aurait pour avantage subsidiaire d'économiser une page du passeport dangereusement plein de Yohan! Là nous rencontrons deux blancs (bénévoles dans une association pour la paix et la non-violence) qui nous informent de la nécessité de nous enregistrer à la police sous 24H et d'y obtenir un surat jalan, autorisation de circuler dans tel ou tel district de la province de Papua. On avait oublie ce détail!

Imaginez-vous voyager sans guide! Heureusement notre bonne étoile nous met sur le chemin de personnes qui nous donnent les infos... Vous connaissez la Prophétie des Andes de James Redfield? Pour les hôtels c'est plutôt notre persévérance qui est la clé... Et en ce qui concerne les destinations et visites, c'est le flou artistique!
Sans guide, nous marchons peut être dix fois plus, mais nous apprenons à connaître les vrais prix (qui se révèlent souvent inférieurs à ceux qui figurent dans les bouquins de nos co-voyageurs) et nous laissons plus de place au hasard. Peut être que nous passons à côté de quelque merveille, mais une merveille inondée de touristes à camera n'est pour nous plus que la moitié d'une merveille... Nos merveilles à nous se situent dans le contact spontané, authentique et désintéressé que nous offre le hasard...






Reprenons notre casse-tête visa... Au bureau de l'immigration, donc, les deux bénévoles que nous avons rencontrés nous disent que plutôt que de tenter d'obtenir quoi que ce soit de cette administration à laquelle eux-même se heurtent pour d'autres raisons, le plus simple serait d'aller à la frontière, où nous pourrons obtenir un ticket qui nous permettra d'aller jusqu'à Vanimo, en Papouasie-Nouvelle-Guinée (ou PNG), donc, où se trouve le consulat indonésien, où nous pourrons obtenir notre visa, le tout en une petite journée! Nous tentons tout de même l'extension, et on nous dit fermement que ce n'est pas possible en Papua...



Le lendemain donc, nous utilisons les transports locaux (3 voitures, en tout 35 000 rp chacun soit environ 2 euros) et nous arrivons à la frontière à 8H du matin après 1H30 de route. Et là: mauvaise surprise!!! Nous ne pouvons entrer en PNG sans visa... Le coup du ticket, ça ne marche pas...
Humpf... Nous voilà refoulés!!! Dégoutés... Pour repartir dans l'autre sens il faut soit louer une voiture (200 000 rp) soit attendre d'autres passagers pour remplir le taxi... Nous attendons... personne... Un policier nous propose de nous ramener pour 200 000, nous négocions à 100 000 (il part de toute façon) et c'est parti... c'est du joli... Nous profitons de la corruption... c'est honteux...
Il nous dépose devant le consulat de PNG où nous expliquons que nous avons besoin d'aller à Vanimo pour faire renouveler notre visa indonésien. On nous annonce que le visa nous coûtera 1 800 000 rp!!! 120 euros!!! WHAT?!? C'est pas possible!!! L'employée, froide et antipathique, nous répond que si on ne veut pas aller dépenser de l'argent en PNG en y faisant du tourisme, c'est le prix! (c'est en fait le tarif du visa business). "Si on y va en touristes, c'est combien?" "un visa touristique c'est 225000. Mais à votre retour à la frontière si vous faites juste l'aller-retour, on vous fera payer les 1 575 000 rp de différence!"
OK bein la décision est prise: nous allons "faire du tourisme" en Papouasie-Nouvelle-Guinée... Mais attention! Demain c'est le 23 décembre, le consulat ferme à midi et jusqu'au 4 janvier! Donc demain tout doit être en règle! Il nous faut une lettre (tapée) expliquant notre programme en PNG, deux photos, et surtout: un billet d'avion de sortie du pays... Humpf... "Un billet de sortie d'Indonésie ça ira?" "Oui oui" (je me garde de préciser que c'est un billet de bateau; à Singapour nous avions acheté un aller-retour!)


au marché...


Le lendemain nous revenons avec nos dossiers complétés, et au bout de 5 heures d'attente dans une chaleur intense nous obtenons nos visas... L'employée (au sourire toujours inexistant) a bien tiqué sur le billet de bateau, l'air agacé, mais n'a pas réellement eu le choix (nos visas se terminant le 3 janvier, elle nous mettrait carrément en situation illégale)... ouf!!! quelle chance d'avoir débarqué au dernier moment! Sinon on était contraint d'acheter un billet d'avion... Imaginez le paradoxe!




C'est durant cette longue attente que nous rencontrons la gentille Joan, qui est d'ici et part passer des vacances à Vanimo, et nous propose de nous emmener le lendemain. OK! Ça marche!
C'est donc son oncle qui nous conduit à la frontière le lendemain...


Nous entrons en Papua-New-Guinea sans encombre! Wah bein ça alors! Un nouveau pays! Ici la population est mélanésienne (noirs aux cheveux parfois clairs, surtout les enfants) et parle le tok pisin (pidgin), une langue dérivée de l'anglais mais qui est inintelligible à nos oreilles profanes!


Le problème ici c'est que les hôtels sont très très chers (70 euros la nuit). La « famille » (de l'ami) de Joan ne veut pas nous héberger car elle a peur d'avoir des ennuis avec la police (peut-être en réalité car il n'y a pas de sanitaires). Il y a une chambre d'hôtes à 15 euros, pas cher ici bien que quatre fois notre budget indonésien. Finalement, Joan nous conduit chez Antoine, un ami Néo-zélandais qui nous propose tout de suite de nous héberger, heureux d'avoir de la compagnie pour Noël!!! Gagnant-gagnant! On est super heureux de cette rencontre, et je me mets vite aux fourneaux pour préparer un poulet au curry de Noël!


au marché à Vanimo...




Antoine est pilote de petits avions (12 places) qui relient les villages autrement inaccessibles, à part par la jungle, à pied, en plusieurs jours ou semaines... Il nous montre des vidéos de ses décollages et atterrissages sur des pistes herbeuses... Excellent! Il nous propose de nous faire profiter d'un vol si des places sont libres, et, comble du comble du voyageur qui ne prend pas l'avion, nous acceptons avec enthousiasme!!! Wah! C'est un de mes rêves de toujours! Mais l'occasion ne se présentera finalement pas, puisqu' Antoine devra s'absenter plusieurs jours... (nous laissant les clés de son appartement!) dommage... Nous appréciions sa compagnie, ses anecdotes et son humour...


Antoine


Un pays comme la PNG nous montre les limites d'une idée, et comment chaque chose est fonction d'autres paramètres... En PNG, finalement, n'est-il pas préférable de circuler par l'air, plutôt que de casser les montagnes pour construire des routes? (ce qui risque fort de se produire puisque les malais convoitent le bois et ont commencé à exploiter la jungle...)


la petite voisine Josefa, 14 ans


son petit frère


En attendant, nous voilà avec une maison, un four, un frigo, et un hamac sur une terrasse!!! Alors farniente et cuisine occidentale au programme! Hmmm du vrai pain...

leur animal de compagnie...
le pauvre...
on lui a coupé le bout de l'aile pour ne pas qu'il vole...
un oiseau...


Nous constatons que plus nous allons vers le nord-est de l'Indonésie, et jusqu'en PNG, moins c'est peuplé, moins c'est touristique, et plus nous sommes invités; toujours par des chrétiens, qui eux nous voient comme autre chose que des porte-monnaie! D'ailleurs le christianisme est autrement plus vivant que chez nous, les populations d'origine de ces îles ont été sensibles aux missionnaires qui sont venus "prêcher la bonne parole" ici... Colonisation religieuse? En tous cas ça prend, ici, et bien des gens (locaux et voyageurs) sont d'une « mission » ou d'une autre... étrange...




Angelina et sa petite


Après une parenthèse touristique obligatoire en PNG, nous rentrons en Indonésie... Ça y est on fait demi-tour!!! On a touché à la fin de notre voyage!!! On repart dans l'autre sens!!!




A la frontière côté indonésien, le problème du transport se pose encore, cette fois-ci on nous annonce qu'il faut louer, pour 400 000!!! Ou alors un Ojek (mobylette) mais 30 km avec nos sacs sur le dos... aille aille... Alors nous décidons d'être patients et arrêtons une voiture, deux voitures... Et voilà! Nous sommes pris par une famille de papous! Hé hé! On fait du stop en Indonésie!!!
Nous rejoignons Joan à Jayapura le 31 décembre, elle nous conduit dans la maison vide de son ami, qui est loin, très loin du centre ville... et nous y laisse... Nous entendons les feux d'artifices mais ne participerons pas à la fête...


bye bye!


15 commentaires:

  1. bonjour les crevards mais avant tout merci de continuez le blog pour nous autres petit français.
    alors a tres bientot ici avec de new avantures .aum a vous deux.
    syl et marj

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  2. Surtout n'arrêtez pas le blog!!!
    On est nombreux à le lire (même si tout le monde ne met pas de commentaire).
    Quelle galère, ces histoires de visa..
    Toujours de belles rencontres, à ce que je vois...
    Ca compense bien des désagréments!
    Take care,
    et gros bisous de tout le monde!

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  3. Ah ben oui sans le blog plus de news, plus de contacts ...SNIF !!!
    En plus j'ai trouvé un super site pour publier les blogs sur papier (livre d'iprimerie, quoi !) et j'ai de suite pensé a vous pour votre retour !
    Alors même avec moins de photos, même avec moins de détails, coupez pas le fil s'il vous plait !
    Bon ici tout va bien, reprise d'etudes en vue peut etre pour moi ... A suivre !
    ON VOUS AIME !!!
    Cécile

    Grosses bises a vous ... On pense a vous ...

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  4. Demi-tour pour de vrai ???
    Bon, allez, juste histoire de vous remonter le moral, jeter un oeil à ces salles de bain...
    http://www.via.com.lv/Flizes/Sortiments/MC/ULTRA-GLAM/DESIGN5.jpg http://www.via.com.lv/Flizes/Sortiments/MC/ULTRA-GLAM/DESIGN3.jpg
    Bon et sinon, oui continuez le blog! Et comme avait dit Maman il y a longtemps, vous serez vraiment contents dans quelques années de l'avoir fait. En tout cas, ça nous dépayse de notre quotidien et ça fait du bien. Je vous embrasse bien fort tous les deux, Carine

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  5. C'est toujours avec plaisir qu'on suit le blog , ne l'arréter pas .
    Je connais beaucoup de monde qui le suivent et qui ne mettent pas de commentaires .

    A bientot bises

    la malie

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  6. Ah bah non n'arrêtez pas le blog hein et sauvegardez vos textes surtout... Dire que j'ai failli mettre 0 à votre petit sondage histoire de rigoler... Bon, on attend, encore un mois, pour avoir la suite...
    Bonne route... Je pars en Indo en Aout... Serez-vous toujours dans le coin??? Je reste un an ou plus... inch allah!

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  7. Ah ben apres les salles de bain que montre Carine, tu va plus jamais vouloir utiliser "la douche du bas" qui est pourtant presque la tienne !!!
    On a pas prévu de la refaire de suite ni de pousser les murs, ici personne ne manie la marteau piqueur comme toi !!!! Tu as placé la barre trop haut ma pauvre ! Du coup on t'as gardé du boulot ! LOL ! Non, je déconne, y'a eu du changement tout de même !!! Qui va doucement, va loin .... Et c'est pas vous qui direz le contraire !?
    Bises encore !
    Cécile

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  8. Salut Lara,
    C'est vrai, on ne se fend pas toujours d'un commentaire, mais on suit le blog avec assiduité, et on est contents d'avoir de vos nouvelles.
    Continuez, donc !
    Des bises, Zoé.

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  9. coucou!
    on fais partit des gens qui n'écrivons pas de commentatires, mais sachez qu'on ne loupe pas une miette de vos aventures ( oui grâce à vous et arte je sais un peu comment ça se passe ailleur)
    on vous fais d'énormessssssssssss bisous pour supporter le poids des sacs et tous les batons que vous enjambez.

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  10. et ouais nous aussi on le lit vot blog avec kathy, comme ça on partage un ptit peu votre aventure meme si c'est vrai ce n'est pas tout a fait reciproque puisque on a pas de blog (mais a ttend lara je vais t'ecrire un petit mail) et puis bon notre aventure elle est plus soft (pas de visas, pas de police corrompue quoique, pas de fleurs carnivores géantes ni d'anthropophages obsédés quoique) a bientot

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  11. Merci a tout le monde d'avoir repondu, on n'avait pas du tout l'intention d'arreter le blog, mais ca fait vraiment du bien de savoir qu'il est lu! On se sent moins loin de vous...

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  12. youhouuuuuuuu!!!!
    HAAA no no no no n'arrétez pas le blog please!!! ya pleins de personnes qui le lise qui l'aime ! c'est terrible et comme ça on est un peu proche de vous et en plus ça fait réver!!!!!! le blog est excellent et tres apprécié!!! votre aventure est toujours aussi belle!! une tonne de pensées et de bisous vous me manquez!!!

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  13. Et ben ce petit sondage m'aura permis de lire un mot de Régis et Kathy ! C'est deja ça ... Vous vous rendez compte de ça je suis obligée de demander de vos nouvelles a Lara qui est a l'autre bout du monde ! Dingue non ? (Elle peut confirmer que je l'ai fait dans un mail tout recemment ...) Vous savez ou on est, vous savez qu'il y a un lit et toujours une bonne bouffe ... Et comme Lara n'est pas encore de retour pour squatter l'endroit ... N'hesitez pas !

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  14. Beh ouaip, continuez le blog !
    Bon les photos sont géniales et les articles originaux (et en plus on est dans vos blogs amis, que demander de plus ?)

    Banzai, et bon courage pour la suite (qu'on ne manquera pas de lire)

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  15. Hi !
    Découvert par hasard vos récits de Papua. Miam-miam : je m'y revois au travers de vos aventures.
    Surtout, continuez : maintenant que j'ai votre blog, je ne vous lâche plus.
    Et histoire de me présenter à vous :
    http://pilotedejunglechezlespapous.blogspot.com/
    To soon...

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